FENGERHTF

téléphone au 004121 557 13 50, vendredi 27 janvier 2012, conversation téléphonique avec une personne sans nom,
Nous demandons en premier lieu à parler à une personne responsable, une personne sans nom, demande de quoi il
s'agit.
Nous informons la personne de l'agressions à l'arme blanche qui as eu lieu à la gare de VEVEY en décembre,
demandons pourquoi la procédure n'as pas été suivie en conformité de la réglementation lors d'une voies de fait.
Nous informons la personne sans nom, de ça complicité dans une affaire de crime contre l'humanité,
de par son refus de coopération.

La personne sans nom demande que nous téléphonions lundi.

Lundi 30 janvier 2012

téléphone au 004121 557 13 50, une seconde personne, celle-ci n'ayant pas de nom, non plus réponds,
elle refus de s'identifier, nous l'as rappelons aux uses et coutumes, lui demandant de s'identifier,
comme le veux la déontologie, refus de personne sans nom, elle raccroche, à partir d'un logicielle
de type informatique, une troisième personnes, n'ayant pas de nom, non plus, dis que normalement
la plainte devrais se poursuivre de elle même, je fait savoir que c'est la raison de mon appel,
que en partie ma plainte consiste à rétablir une certaine norme, du terme académique de normal,
au seins de leurs réseaux clandestins, minant l'ordre judiciaire de mon pays.

La personne n'ayant pas de nom, dis s'appeler Madame Ministère, ayant pour nom de famille
Publique, madame Publique, alors propose que je lui écrive afin que elle puisse entreprendre
dans le sens de son travail, pour lequel elle est rémunérée.

Nous nous saluons, un courrier est rédiger manuscrite envoyé à la coure Européenne des droits
de l'homme sous chiffre CEDH-PF4 bis, PDJ/afy , à la commission des citoyens des droits de l'homme.

écris à Villeurbanne, le 30 janvier 2011 par WEBER JULIEN 15.11.1979